FACTUELLEMENT IL FAUT PRENDRE UN AVOCAT

• Lorsqu’après le passage de l’expert d’assurances ce dernier, sans avoir faire d’étude de sol géotechnique, soutient que les désordres ne sont pas imputables à la sécheresse.

• Lorsque votre dossier n’a pas été réglé au bout de 9 mois : délai raisonnable pour traiter ce type de dossier.

• Lorsque l’assureur décline sa garantie pour des prétextes fallacieux (dilatation des matériaux, présence de végétaux, absence de joint de fractionnement, etc…).

• Lorsque l’assureur refuse de communiquer l’étude de sol qu’il a faite.

• Lorsque l’assureur propose des solutions réparatoires non pérennes et durables, comme l’agrafage des fissures, ou inusuelles, comme l’injection.

Le propre des désordres de retrait gonflement des argiles est de provoquer des fissures sur votre maison qui vont passer de la microfissure, à la fissure puis aller vers la crevasse au gré des saisons d’hydratation des sols.

Il n’y a pas de petits désordres en matière de sécheresse.

Une fois que le seuil de dessication de votre maison est atteint à la suite d’un épisode de sécheresse, il atteint le point de rupture des matériaux de construction et les désordres évolueront vers la dislocation de votre bien au fil du temps.

En cas de refus de prise en charge de votre sinistre catastrophe naturelle par votre assureur, il

est nécessaire de passer par une expertise judiciaire.